18000 €. Casque M.O en polycarbonate pour Police Municipale. Avec bande anti-transpiration et calotin intérieur en polystyrène pour une meilleure sécurité tout en restant confortable. Pour ce produit, vous devez nous communiquer la référence dans la Le ministère de l'Intérieur a publié jeudi son nouveau schéma national du maintien de l'ordre, dont Gérald Darmanin avait présenté la semaine passée les principaux des mois à plancher sur le sujet, le ministère de l'Intérieur a publié, jeudi 17 septembre, le document relatif à la nouvelle doctrine du maintien de l'ordre, qui vise, selon Gérald Darmanin, à "adapter" la gestion des manifestations en France. Présentées comme une "étape cruciale dans la pratique du maintien de l'ordre en France", les mesures valident notamment l'usage des armes de force intermédiaire. Ce schéma national du maintien de l'ordre SNMO vise à mettre fin aux polémiques à répétition, depuis près de deux ans, concernant l'utilisation de la force par la police, en particulier lors des mobilisations des "gilets jaunes". Plusieurs personnes ont été gravement blessées par des tirs de lanceurs de balles de défense LBD et de grenades. Voici ce qu'il faut savoir sur ce SNMO. De nouvelles grenades L'une des principales nouveautés présentées dans ce document n'en est pas une. Le modèle de grenade à main de désencerclement GMD avait déjà été remplacé depuis quelques semaines par un nouveau type, réputé moins dangereux, la grenade à éclats non létaux GENL, dont les commandes ont été passées dès 2019. Classée comme arme de catégorie A2, et donc comme "matériel de guerre", selon le site spécialisé Maintien de l'ordre, ce nouveau modèle dispose d'un bouchon allumeur responsable des blessures les plus graves qui ne saute plus, restant solidaire du corps de la grenade, qui demeure intact après la détonation. Quand elles explosent, les GENL, fabriquées par la société d'armement et d'étude Alsetex, produisent un bruit très légèrement inférieur à celui des GMD et projettent 18 petits galets de caoutchouc de 10 grammes chacun à une vitesse moyenne de 342 km/h, contre 450 km/h pour le modèle précédent. Comme pour la GMD qu'elle remplace, la doctrine d'emploi prévoit un usage uniquement à la main, en la faisant rouler au sol, et proscrit tout lancer en cloche, pour un "rayon d'efficacité de 5 à 10 mètres", contre 15 mètres pour la précédente grenade. Le SNMO mentionne par ailleurs l'achat de matériel dédié au maintien de l'ordre. "Véhicules de commandement, engins lanceurs d'eau, véhicules blindés, matériels d'intervention et de protection, matériels radio...", liste-t-il. L'usage des LBD encadré Le Défenseur des droits ainsi que plusieurs ONG demandent depuis des années le retrait de cette arme de l'arsenal policier, sans succès. Selon la nouvelle version de la doctrine, l'usage des lanceurs de balles de défense est maintenu, mais mieux encadré. Concrètement, les tireurs devront dorénavant être assistés d'un "superviseur" chargé notamment d'"évaluer la situation d'ensemble et les mouvements des manifestants, de s'assurer de la compréhension des ordres par le tireur et de désigner l'objectif", est-il écrit dans le document du ministère. Comme indiqué dans un rapport du Sénat PDF sur l'usage des LBD dans le cadre du maintien de l'ordre, daté de février 2019, c'est également lui qui donne l'ordre de tirer. Car cela n'a rien de nouveau pour les CRS et les gendarmes mobiles porteurs de LBD, déjà soumis à la présence d'un superviseur. La mesure est en réalité étendue aux effectifs de sécurité publique et aux Brigades de répression de l'action violente Brav, composées notamment des Brigades anti-criminalité Bac. "Ça ne se fait pas de gaieté de cœur, parce que là où il fallait un policier avant, maintenant il en faut deux", a réagi une source au ministère de l'Intérieur, citée par Libération article payant. Enfin, le texte précise que le superviseur pourra être porteur d'une caméra-piéton, dans la continuité de l'instruction du 23 janvier 2019 visant, à l'époque, à en doter les porteurs de LBD "dans toute la mesure du possible". Les porteurs de caméra sont invités "dans tous les cas ... à enregistrer les conditions dans lesquelles le LBD a été utilisé". Mais pour Fabien Jobard, directeur de recherches au CNRS et spécialiste du maintien de l'ordre cité par franceinfo, "on va naviguer dans des eaux troubles en ce qui concerne l'usage du LBD. Est-ce une arme de maintien de l'ordre ou seulement une arme de légitime défense ? L'ambiguïté n'est pas tout à fait levée encore", a-t-il estimé le 11 septembre, à la suite de la présentation des principales mesures du SNMO par le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin. Interrogé dans Libération, il a encore pointé "l'ambiguïté de la présence de cette arme en maintien de l'ordre, censé être de la gestion de foule". "Quelles que soient les conditions d'usage, ça reste une arme qui vise un individu et un seul", a-t-il exposé, expliquant notamment son maintien dans l'arsenal des forces de l'ordre par la "pression syndicale". Des unités plus "mobiles" Pour "mettre fin aux exactions" et répondre à "l'infiltration plus systématique de casseurs au sein des cortèges", une plus grande mobilité des forces de l'ordre est un "impératif", écrit le ministre de l'Intérieur, en préambule du texte. Des unités "spécialement constituées" disposant d'un "grand pouvoir de mobilité" pourront être mises en place. Une "contribution grandissante des unités hors unités de force mobile" est aussi soulignée. Se pose alors la question de la formation au maintien de l'ordre lors des manifestations de ces policiers. Si on leur demande "de prendre part à un dispositif de maintien de l'ordre pour y faire ce qu'ils font en police urbaine, pour faire du 'saute-dessus', ce sera un problème", commente Fabien Jobard dans Libération. Le document du ministère de l'Intérieur aborde ce point en indiquant que les unités spécialement constituées "bénéficient de formations adéquates, tant pour leurs propres modes d'action que pour leur interopérabilité avec les unités de forces mobiles". Enfin, les acteurs traditionnels du maintien de l'ordre bénéficieront quant à eux de la création de 300 postes de gendarmes mobiles. Ces derniers "bénéficient de près de 60% de la hausse des effectifs annoncés", relève le journal L'Essor de la gendarmerie. Un effort de communication avec les manifestants La nouvelle doctrine prévoit aussi une "modernisation des sommations", avec notamment l'ajout de la phrase "Quittez immédiatement les lieux", en plus des traditionnelles indications, afin d'"exprimer plus explicitement ce qui est attendu de la part des manifestants". Evoquant ce point sur Twitter, le journaliste Maxime Reynié, fondateur du site Maintien de l'ordre, a estimé qu'"en clair, ça ne changera rien. Toujours trois messages qu'on n'entendra jamais au milieu de la foule, des cris, etc.". Et si les forces de l'ordre seront équipées, selon le document, de nouveaux matériels comme des "haut-parleurs de forte puissance" ou des "panneaux à message variable", pour mieux informer les manifestants, le journaliste en pointe les limites, décrivant des panneaux "illisibles car trop loin, ou trop de lacrymos, ou cassés". Quant à l'utilisation des réseaux sociaux pour faire passer ces informations au cours des mobilisations, elle est "inutile" puisque "personne ne [les] regarde en participant à une manif". Dans le cadre de cet effort de communication, un "dispositif de liaison et d'information" doit aussi être mis en place entre policiers et organisateurs. "Ces échanges rappelleront aussi la nécessité pour les orgas de se désolidariser rapidement des 'casseurs'", analyse encore Maxime Reynié sur Twitter. Le journaliste y voit "un côté tactique pour faciliter l'intervention mais aussi ... politique pour bien séparer les gentils et les 'casseurs' encore plus, et au sein même des cortèges entre militants, et éviter les 'convergences' qu'on a pu voir plusieurs fois." Plus de transparence Affichant aussi la volonté d'une plus grande "transparence" dans l'action des forces de l'ordre, le texte souligne que toutes les unités porteuses d'un uniforme devront avoir un marquage dans le dos pour permettre leur identification. Cela s'ajoutera "port du RIO" le référentiel des identités et de l'organisation, un numéro qui identifie le policier, "y compris sur la tenue de maintien de l'ordre", souligne le document. Cependant, en décembre dernier, Libération relevait déjà de nombreux manquements à la loi concernant le RIO. "Les éléments de la tenue nécessaires au maintien de l'ordre ne disposent pas d'emplacement pour mettre le RIO, ou parfois, le cachent", affirmait Philippe Capon, secrétaire général d'Unsa Police. Le dernier SNMO n'aborde pas ce problème. En revanche, le ministre de l'Intérieur souhaite interdire la diffusion des visages non floutés du personnel, et ce, alors que le port de la cagoule reste interdit. Une place "particulière" pour les journalistes Le SNMO insiste aussi sur la nécessité de reconnaître la "place particulière des journalistes au sein des manifestations". Le texte pointe notamment leur droit à "porter des équipements de protection, dès lors que leur identification est confirmée et leur comportement exempt de toute infraction ou provocation". Pour autant, le texte rappelle "que le délit constitué par le fait de se maintenir dans un attroupement après sommation ne comporte aucune exception, y compris au profit des journalistes ou de membres d'associations". "Ils doivent, comme n'importe quel citoyen, obtempérer aux injonctions des représentants des forces de l'ordre en se positionnant en dehors des manifestants appelés à se disperser." Nousrappelons que la surveillance du bon ordre, et le maintien de l'ordre sont 2 notions strictement opposées. La surveillance du bon ordre est la mission quotidienne du policier municipal, action de police administrative préventive, visant à assurer une mission de surveillance générale en dehors de tout événement particulier. INFO BFMTV - Parmi 35 propositions pour améliorer l'encadrement des manifestations, la commission d'enquête sur le maintien de l'ordre préconise d'interdire l'usage du l'abandon du très contesté LBD? La commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur le maintien de l'ordre, qui a débuté ses travaux en septembre dernier, doit dévoiler ce lundi 35 propositions pour améliorer la manière dont les policiers encadrent les elles ressort une proposition emblématique, l'interdiction du lanceur de balles de défense, le LBD, sauf en cas d'émeutes ou de danger grave, a appris BFMTV. Il s'agit d'éviter de blesser gravement les manifestants mais aussi de provoquer une désescalade de la violence."C'est épidermique, on évite de créer une sensation de violence, qui n'existe pas, parce qu'on voit une arme. Il n'y aura plus cette image d'agents de police en cordon avec leur casque, leur protection et le LBD complémentaire. Cela permettra d'envoyer un message de paix entre les forces de l'ordre et le manifestant", explique à BFMTV Ludovic Mendes, député LaREM de Moselle et membre de la députés proposent alors de généraliser les canons à eau dans toutes les manifestations de dissolution de l'IGPNParmi les 35 propositions, la commission préconise également de désigner un juge d'instruction automatiquement en cas de violences policières et de dépayser les enquêtes pour ne pas que la police locale investigue sur ses propres rapport des députés plaide aussi pour que le maintien de l'ordre revienne exclusivement aux unités spécialisées, soit les CRS et les gendarmes certains membres regrettent que les propositions soient encore trop tièdes. Au lieu de dissoudre l'IGPN, la police des polices, les députés proposent qu'elle ne soit plus rattachée à la police nationale mais au ministère de l'Intérieur pour garantir plus d'indépendance. Mercredi30 septembre, la commission d'enquête relative à l’état des lieux, la déontologie, les pratiques et les doctrines de maintien de l’ordre a auditionné:. À 14 heures 30, Frédéric Veaux, directeur général de la police nationale À 16 heures, le Général Christian Rodriguez, directeur général de la gendarmerie nationale À 17 heures 30, Didier Lallement, préfet de police

Quand le maintien de l'ordre vire au "casse-pipe", des policiers témoignent Le Beauvau de la sécurité s'attaque aujourd'hui à un sujet d'autant plus explosif que les policiers fonctionnaires sont moins bien formés et équipés. Par Paul Guyonnet La technique de la "nasse" devant le Conseil constitutionnel Le Conseil constitutionnel dispose d'un délai de trois mois pour se prononcer. Par Youen Tanguy avec AFP Sécurité globale À Paris, police et gouvernement se félicitent du nouveau maintien de l'ordre Après plusieurs manifestations marquées par des heurts, les autorités avaient décidé d'interpeller massivement et de manière préventive ce samedi 12 décembre à Paris. Par Paul Guyonnet Violences policières "il y a un problème d’approche, de doctrine et de formation", selon ce chercheur Fin de la clé d'étranglement, pistolet à impulsion électrique... Face à la crise dans la police, Christian Mouhanna, chercheur au CNRS, appelle à se concentrer "sur d’autres moyens de désescalade". Par Maxime Le Roux Castaner annonce le "retrait immédiat" de la grenade GLI-F4 mais... Le ministre de l'Intérieur avait déjà dit en 2018 qu'il ne commanderait plus cette arme qui a causé des blessures chez les manifestants. Par Anthony Berthelier avec AFP Après la blessure de Rodrigues, Mélenchon s'en prend encore au préfet Lallement Le militant gilet jaune a été touché au visage alors qu'il participait à un rassemblement contre la réforme des retraites. Par Anthony Berthelier La France refuse de conseiller le Chili sur le maintien de l'ordre Le gouvernement de Sebastian Piñera avait récemment annoncé que plusieurs polices dont la française conseilleraient les forces chiliennes sur le maintien de l'ordre après la mort de 23 personnes dans les contestations sociales. Par Anthony Berthelier avec AFP Police épuisement, manque de moyens et de formation, erreurs de commandement sont autant de risques de violences abusives Les obsèques de Steve Maia Caniço ont eu lieu dans la plus stricte intimité jeudi à Nantes selon Ouest France. Le rapport de l'IGPN a été vivement critiqué. Les conditions d’usage de la force après huit mois de manifestations violentes font polémique. Comment en est-on arrivé à ce climat explosif entre police et population? Par Jean-Marie Godard M. Castaner, face aux violences policières, des états généraux du maintien de l'ordre sont nécessaires Disparition de Steve Caniço, tirs de LBD et de grenades contre les gilets jaunes, utilisation à outrance de gaz lacrymogène... Devant tant de dérives, des états généraux du maintien de l'ordre doivent avoir lieu en urgence. Par Vincent Brengarth "Où est Steve?" chaîne humaine émouvante à Nantes, un mois après la disparition de Steve Des centaines de personnes se sont réunies devant la Loire, à l'endroit où le jeune homme aurait disparu le soir de la fête de la musique. Par Anthony Berthelier avec AFP À Nantes, une plainte collective déposée après l'action de police polémique La mobilisation continue autour du hashtag "ouestSteve", pour retrouver le jeune homme de 24 ans disparu depuis la fête de la musique. Par Anthony Berthelier Après les gilets jaunes, Castaner organise un séminaire sur le maintien de l'ordre Alors que la contestation dure depuis sept mois, le ministre de l'Intérieur réunit différents acteurs français et internationaux pour échanger notamment sur les violences policières. Par Paul Guyonnet avec AFP Pour Jean-Michel Fauvergue "il faut oublier l'affaire Malik Oussekine" Malik Oussekine avait été tué lors d'une manifestation étudiante en 1986. Son histoire refait surface à l'aune du débat sur les "voltigeurs" de la police. Par Romain Herreros Acte XIX des gilets jaunes ce que l'utilisation de drones dit de l'évolution du maintien de l'ordre Entre drones et marquage chimique, Édouard Philippe a promis un tour de vis sécuritaire pour que le chaos sur les Champs-Élysées ne se reproduise plus. Par Anthony Berthelier Gilets jaunes les marqueurs chimiques bientôt déployés contre les casseurs Christophe Castaner a livré quelques détails sur les "PMC" Produits de Marquage Codés promis par Édouard Philippe pour identifier les auteurs de violences. Par Anthony Berthelier et Lucie Hennequin Gilets jaunes Dany Kocher, maire de Phalsbourg, interdit l'usage des LBD L'édile s'appuie sur la récente requête de l'ONU demandant "une enquête sur l'usage excessif de la force dans le maintien de l'ordre en France". Par Anthony Berthelier

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Le document circule dans la mouvance black bloc et a déjà été retrouvé sur des téléphones portables lors d’interpellations à Paris. Il liste les endroits où les agents sont le moins protégés. Ce magistrat parisien a été surpris en découvrant, d’un côté, les faits reprochés à Akram, un homme de 31 ans poursuivi pour des violences commises sur des policiers le 28 novembre dernier à Paris et, de l’autre, un document retrouvé dans le téléphone portable du prévenu. Un petit guide — que nous nous sommes procuré — illustré avec la photo d’un policier casqué, en tenue de maintien de l’ordre, et intitulé En cas d’agression physique ».[…] Cela correspond bien à ce qu’on rencontre sur le terrain, confirme un policier spécialisé dans le maintien de l’ordre. Ils visent juste et courent vite. On sent que c’est bien étudié et, pour tout dire, on redoute tous un peu la confrontation. »Le Parisien

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